Alors qu’on estimait il y a peu sa prévalence entre 0,5 et 2 % de la population hypertendue [3], l’HAP est désormais la première cause en fréquence d’HTA secondaire. L’usage courant du rapport aldostérone sur rénine (RAR) pour dépister l’HAP a en effet augmenté à plus 10 % la prévalence des cas diagnostiqués ce qu’on a décrit comme une “épidémie”[...]
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