Editorial : Un symptôme à part

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Pendant longtemps, ces subtilités n’ont guère intéressé les médecins pour qui le diagnostic de ces pertes de connaissance se résumait à l’épilepsie ou à des manifestations féminines d’hypersensibilité mal contrôlée. Vint la découverte des troubles de conduction et surtout de leur traitement par la stimulation cardiaque. La “machine” cardiologique se mit alors en marche et, finalement, extirpa les syncopes du ghetto neuro-affectif dans lequel elles étaient engluées. Cet effort aboutit à la fin des années 90 à la constitution d’un groupe de réflexion chargé par la Société Européenne de Cardiologie de rédiger des recommandations sur ce symptôme. Le succès fut au-delà des[...]

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À propos de l’auteur

Université de Bretagne Occidentale Département de Cardiologie, BREST.