- La FA est induite par d’autres facteurs de risque cardiovasculaire
- 1. Des facteurs de risque cardiovasculaires ou une cardiopathie sont fréquemment présents chez les patients en FA
- 2. Physiopathologie d’une association
- La FA est un marqueur indépendant de mortalité cardiovasculaire
- 1. La FA est associée à un risque thrombo-embolique. Ce risque augmente en présence d’autres facteurs de risque cardiovasculaire
- 2. La FA est un marqueur de mortalité cardiovasculaire indépendant des facteurs de risque et des comorbidités cardiovasculaires (en dehors du risque thrombo-embolique)
- 3. Physiopathologie du caractère délétère ou aggravant de la FA
- L’association de la FA à une autre pathologie cardiovasculaire influence défavorablement le traitement
- Conclusion
La fibrillation atriale (FA) est l’arythmie la plus fréquente, touchant 1 adulte de plus de 60 ans sur 25 et 1 sujet de plus de 80 ans sur 10 aux Etats-Unis. La prévalence de la FA devrait augmenter d’au moins 2,5 fois d’ici 2050, tout au moins aux Etats-Unis. C’est donc déjà, par sa prévalence très élevée, un véritable problème de Santé publique. Nous aurions cependant tort de la considérer uniquement comme une arythmie et donc de l’aborder uniquement par son versant rythmologique. En effet, la FA est également un problème de Santé publique par son association avec les autres facteurs de morbi-mortalité cardiovasculaires.
Regardons donc la FA comme une maladie systémique comme on le fait aujourd’hui pour la maladie coronaire. Pour soutenir cette nouvelle approche, de nombreux travaux vont montrer, d’une part, que les patients en FA ont très régulièrement une cardiopathie associée qui favorise la survenue du trouble rythmique et, d’autre part, que la FA est aussi un marqueur[...]
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