- Les risques de la contraception chez la femme obèse
- 1. Le risque thrombo-embolique veineux
- 2. Le risque cardiovasculaire
- Qu’en est-il de la contraception non orale ?
- 1. Les patchs estroprogestatifs (EVRA)
- 2. L’anneau vaginal estroprogestatif (Nuvaring)
- Les progestatifs
- 1. Les POP (Progestatif Pill Only)
- 2. Le Nexplanon
- Stérilet ou DIU (dispositif intra-utérin)
- La contraception d’urgence (Norlévo ou Ella One)
- Les recommandations en 2013 pour la contraception de la femme obèse
- Bénéfices non contraceptifs de la contraception chez la femme obèse
- Contraception et chirurgie bariatrique
- Notion de consultation précontraceptive
- Conclusion
Nous assistons actuellement à une progression de l’obésité dans le monde. Aussi, sommes-nous confrontés à des patientes de plus en plus obèses. Alors qu’il existe une floraison de publications concernant la contraception depuis plus de 50 ans, il y a très peu d’études sur la contraception chez la femme obèse, sur son efficacité et ses dangers potentiels…
15 % des femmes sont obèses en France, selon les chiffres de l’étude OBEPI [1]. Cette progression de l’obésité se fait particulièrement chez la femme jeune (entre 25 et 34 ans). Or c’est à cette période de la vie que la femme a besoin d’une contraception. Actuellement en France, 46 % de la population est en surpoids ou obèses, soit une patiente sur deux… Sachant que la grossesse est particulièrement à risque de complications obstétricale chez la femme obèse : fausse couche spontanée, hypertension artérielle, diabète, quelle contraception peut-on proposer à cette femme ?
L’obésité est définie[...]
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire
