Infiltrations et antiagrégants plaquettaires : que faire en pratique ?

0

Le vieillissement de la population et la prévalence accrue des maladies cardiovasculaires ont multiplié la prescription de médicaments antiagrégants plaquettaires (AAP), en prévention primaire ou secondaire. En parallèle, les progrès techniques et le caractère peu invasif de certains gestes percutanés, notamment en rhumato-logie, les rendent particulièrement indiqués chez ces patients fragiles, souvent âgés. Il est de plus en plus fréquent d’envi-sager des gestes percutanés au cours d’un traitement au long cours par AAP. Le risque hémorragique plaide en -faveur de l’arrêt des AAP, mais celui-ci n’est pas anodin et peut être associé à de graves complications thromboemboliques.

La[...]

Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.

Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS

Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales

S'inscrire
Partagez.

À propos de l’auteur

Service de radiologie, hôpital Avicenne, BOBIGNY.