- Quelle définition ?
- Un syndrome probablement à démembrer
- Un traitement reposant pour partie sur des caractéristiques propres
- 1. La prévention
- 2. La physiopathologie
- 3. Le facteur déclenchant
- L’ère des essais thérapeutiques contrôlés
- 1. Une série d’échecs plus ou moins relatifs
- 2. L’étude EMPEROR-Preserved
- Quel traitement de l’ICFEp en 2022 ?
- 1. IC à fraction d’éjection modérément réduite résultant de l’amélioration d’une ICFEr
- 2. Prescription d’une gliflozine en traitement de fond
- 3. Traitement des signes cliniques et symptômes de congestion
- 4. Traitement des principales comorbidités
- 5. Deux cas particuliers
- 6. Traitement préventif
- 7. L’avenir
Jusqu’à récemment, aucun essai thérapeutique contrôlé (ETC) conduit chez des patients ayant une insuffisance cardiaque à fraction d’éjection préservée (ICFEp) n’avait eu un résultat significatif sur son critère primaire [1]. En 2021, les résultats de l’étude EMPEROR-Preserved [2] ont montré qu’un inhibiteur de la SGLT2 communément appelé gliflozine, l’empagliflozine, diminue significativement les événements de son critère primaire, composés des décès cardiovasculaires (CV) et des hospitalisations pour insuffisance cardiaque (IC). Ce résultat fait de cette molécule le premier traitement au bénéfice validé dans cette maladie. Nous avons appris début mai 2022 qu’une autre gliflozine, la dapagliflozine, a aussi permis de réduire significativement les événements du critère primaire (les mêmes que dans l’étude EMPEROR-Preserved) dans un ETC mené dans l’ICFEp mais les résultats[...]
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