- Diagnostic de l’insuffisance cardiaque
- Les recommandations américaines de prise en charge de l’insuffisance cardiaque
- Traitement de l’insuffisance cardiaque à fraction d’éjection préservée
- Insuffisance rénale et iSGLT2
- Intérêt des chélateurs du potassium dans le traitement de l’insuffisance cardiaque
- Amélioration du parcours de soins des patients insuffisants cardiaques
- 1. Généralisation de la télésurveillance
- 2. Place des hospitalisations de jour ou à domicile
- 3. Alerte électronique et dossier de santé
- 4. Effet de la réduction de la consommation de sel
- 5. Vaccinations contre les maladies respiratoires et insuffisance cardiaque
Avec une nouvelle définition, incluant les peptides natriurétiques, des recommandations américaines venant compléter celles européennes, un traitement enfin efficace dans sa forme à fraction d’éjection préservée et un suivi actualisé grâce à l’apport de la télémédecine, l’insuffisance cardiaque (IC) est plus que jamais un sujet d’actualité.
Diagnostic de l’insuffisance cardiaque
Afin d’améliorer le diagnostic de l’IC, trop souvent tardif et réalisé dans 80 % des cas au décours d’une première hospitalisation pour décompensation, sa définition universelle incorpore maintenant le dosage des peptides natriurétiques. L’IC est ainsi définie comme un syndrome clinique avec des symptômes et des signes causés par une anomalie cardiaque structurelle ou fonctionnelle corroborée par une élévation des taux de peptides natriurétiques et/ou des signes de congestion pulmonaire ou systémiques objectifs [1].
Ainsi, à l’instar de ce qui a été réalisé pour les syndromes coronariens aigus, où la troponine a été incorporée au diagnostic, les peptides natriurétiques intègrent[...]
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