- Place de l’imagerie cardiovasculaire dans les pathologies coronaires
- Quel suivi proposer au patient coronarien connu ?
- Quelle prise en charge devant une ischémie induite au cours d’un test fonctionnel non invasif sans nouvelle lésion à la coronarographie ?
- L’IRM cardiaque de stress
- 1. Quel protocole en pratique ?
- 2. Dans quel cas privilégier le choix d’une IRM de stress en pratique ?
- 3. Et si l’IRM cardiaque de stress était le meilleur test d’ischémie non invasif ?
- 4. Quels sont les avantages de l’IRM de stress par rapport aux autres tests d’ischémie chez le patient coronarien ?
- Conclusion
L’imagerie cardiovasculaire multimodale est devenue incontournable dans le suivi, la stratification pronostique, ainsi que dans le choix de la thérapeutique de nos patients coronariens. Dans les recommandations, il est précisé que le choix de l’examen d’imagerie adapté repose sur la performance du test, les préférences du patient, l’expérience locale et la disponibilité de l’examen. Ainsi, notre rôle de clinicien est de connaître les avantages et les limites de chacune de ces techniques afin d’orchestrer au mieux la stratégie d’exploration de nos patients en pratique quotidienne.
Place de l’imagerie cardiovasculaire dans les pathologies coronaires
L’imagerie cardiaque non invasive prend une place de plus en plus importante dans les dernières recommandations ESC pour le diagnostic de maladie coronaire chronique (tableau I).
Les recommandations proposent donc de choisir entre test d’ischémie non invasif (échocardiographie, IRM ou scintigraphie de stress) et coroscanner pour le bilan initial d’un patient symptomatique suspect de maladie coronaire chronique. Il est donc important de connaître les éléments qui pousseront à choisir plutôt l’une ou l’autre des techniques[...]
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