
Les pièges de l’évaluation du risque
Un patient de 52 ans, en prévention cardiovasculaire primaire, présente une augmentation modérée du LDL-c. Le jour de la consultation sous diététique adaptée, le LDL-c est de 1,52 g/L (3,93 mmol/L).
Le patient est atteint d’obésité abdominale mais son IMC est de 27,4 kg/m² donc au seuil du surpoids. Il ne pratique plus d’activité physique depuis une rupture des ligaments croisés au ski. Son père a eu un syndrome coronaire à 52 ans (il avait un tabagisme important).