Auteur Dievart F.

Clinique Villette, Dunkerque.

Dossier : Les gliflozines : traitement de l’insuffisance cardiaque
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Les résultats de l’étude EMPEROR-Preserved sont majeurs pour la pratique clinique, notamment en ce qu’ils permettent enfin de disposer d’un traitement apportant un bénéfice clinique dans une maladie dont la prévalence augmente et qui était jusqu’à présent sans ressource thérapeutique validée : l’insuffisance cardiaque à fraction d’éjection préservée (IC-FEP).

Dossier : Les gliflozines : traitement de l’insuffisance cardiaque
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Indiscutablement, les résultats de l’étude EMPEROR-Preserved sont une des données importantes présentées lors du congrès 2021 de l’ESC et cette étude restera un événement important en cardiologie comme en gériatrie. Ses résultats démontrent en effet qu’il est possible d’améliorer le pronostic clinique de patients ayant une insuffisance cardiaque à fraction d’éjection ventriculaire gauche préservée (IC-FEP), domaine dans lequel il n’y avait aucune solution thérapeutique validée comme bénéfique.

Dossier : Les gliflozines : traitement de l’insuffisance cardiaque
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Les sessions scientifiques de la Société européenne de cardiologie (ESC) ont été marquées par deux événements importants en matière d’insuffisance cardiaque. Le premier a été la présentation de nouvelles recommandations pour la prise en charge de l’insuffisance cardiaque. Le second a été la présentation des résultats de l’étude EMPEROR-Preserved démontrant, pour la première fois, qu’un traitement pharmacologique peut améliorer le pronostic de patients ayant une insuffisance cardiaque à fraction d’éjection ventriculaire gauche préservée (IC-FEP). Le dossier de ce numéro de Réalités Cardiologiques est principalement consacré à ces deux actualités et justifie un article spécifique sur les modalités de prescription d’une gliflozine par les cardiologues.

Billet du mois
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Avec ce billet, nous poursuivons ce qui a débuté dans le précédent (juin 2021), c’est-à-dire la présentation de 10 paradoxes concernant les éventuels bénéfices cardio­vasculaires (CV) qu’apporteraient les acides gras oméga-3. Paradoxes ayant engendré de multiples controverses. Après un billet précédent ayant rapporté 5 paradoxes plus économiques et sociétaux, celui-ci rapporte 5 paradoxes d’ordre plus scientifique.

Revue de presse
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DAPA-HF (Dapagliflozin and Prevention of Adverse-Outcomes in Heart Failure) a été un essai thérapeutique contrôlé, conduit en double aveugle contre placebo afin d’évaluer les effets cliniques de la dapagliflozine (10 mg/j) chez 4 744 patients ayant une insuffisance cardiaque symptomatique (NYHA II à IV) et une fraction d’éjection réduite (FEVG < 40 %). Dans cet essai, il a été démontré au terme d’un suivi moyen de 18,2 mois que la dapagliflozine réduit significativement et de 26 % en valeur relative le risque d’événements du critère primaire (aggravation de l’insuffisance cardiaque ou décès cardiovasculaire) et la mortalité totale (HR : 0,83 ; IC95 % : 0,71-0,97).

Billet du mois
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Lors des sessions scientifiques de mai 2021 de l’American College of Cardiology (ACC), la controverse sur les bénéfices cardiovasculaires (CV) potentiels d’une supplémentation en acides gras oméga-3 a franchi une nouvelle étape avec la présentation de résultats complémentaires de l’étude STRENGTH. L’étude STRENGTH a été un essai thérapeutique contrôlé n’ayant montré aucun bénéfice CV d’une supplémentation en fortes doses d’acides gras oméga-3, résultat discordant avec celui d’un autre essai thérapeutique contrôlé paru 1 an plus tôt, l’étude REDUCE-IT, ayant montré un bénéfice ample et relativement précoce d’une supplémentation en acides gras oméga-3.

Billet du mois
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Le 9  décembre 2020, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publiait un communiqué rendant compte des 10 premières causes de mortalité dans le monde en 2019. Cette information en comportait en fait deux : l’une relative à son émetteur, m’ayant conduit le mois dernier à proposer un billet relatif à la place et au rôle de l’OMS, l’autre relative à l’information émise, c’est-à-dire les 10 premières causes de mortalité dans le monde en 2019 et qui fait l’objet de ce billet.

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