Auteur Dievart F.

Clinique Villette, Dunkerque.

Revue de presse
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Chez des patients ayant une fibrillation atriale à haut risque embolique, l’occlusion de l’auricule gauche (OAG) par voie percutanée par le dispositif Amplatz Amulet est associée à un meilleur pronostic que l’utilisation d’un traitement par anticoagulant oral direct (AOD), et ce essentiellement du fait d’une diminution du risque hémorragique.

Billet du mois
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En France, le mois de décembre  2020 a été marqué par des autorisations de prescription qui vont conduire les cardiologues à pouvoir utiliser certains traitements alors qu’ils n’en avaient pas une grande habitude, voire aucune habitude, bien que ces traitements soient disponibles et utilisés depuis de nombreuses années, notamment dans d’autres pays. Il s’agit de deux anticorps monoclonaux anti-PCSK9 (qui seront désignés comme anti-PCSK9), l’alirocumab et l’évolocumab, en prévention cardiovasculaire secondaire, et d’un inhibiteur de la SGLT2 ou gliflozine, la dapagliflozine, dans le diabète de type 2 avec ou sans insuffisance cardiaque. En parallèle, la Commission de la Transparence donnait un avis favorable à la prise en charge par la solidarité nationale de deux autres gliflozines, la canagliflozine et l’empagliflozine, faisant envisager que ces molécules pourraient être disponibles à la prescription lors de l’année 2021.

Revue de presse
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Dans une méta-analyse en réseau évaluant l’échec à 1 an de revascularisation de la lésion cible, parmi 4 stents actifs, le stent Orsiro est apparu significativement supérieur que les stents Xience, Nobori/BioMatrox et Resolute. Au terme d’un suivi de 50 mois, la différence s’estompe mais, globalement, le stent Orsiro reste supérieur aux autres stents.

Revue de presse
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Dans un registre prospectif, la probabilité de positivité d’une RT-PCR chez des professionnels de santé ayant des anticorps anti-SARS-CoV-2 est faible à 31 semaines de suivi moyen (0,13 pour 10 00 jours à risque) et il n’y a pas eu de cas symptomatique chez ces personnes. Chez les personnes séronégatives, une positivité de la RT-PCR a été observée avec une incidence de 1,09 pour 10 000 jours à risque.

Billet du mois
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Au début de l’année 2020, j’avais commencé une série de billets dénommée “30 ans de cardiologie” pour célébrer les 30 ans de Réalités Cardiologiques. Cette série a été interrompue par les circonstances justifiant des billets différents : la pandémie, un prix Nobel décerné à la technique CRISPR-Cas9, riche de promesses pour l’évolution de la médecine et la nécessité pour les cardiologues de pouvoir prescrire des traitements devenus nécessaires à l’amélioration du pronostic de l’insuffisance cardiaque et de l’insuffisance rénale, les gliflozines.

L’Année cardiologique 2020
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L’année 2020 a été riche de publications concernant le diabète de type 2 (DT2), notamment du fait de presque 3 000 publications référencées concernant l’association d’un diabète à une contamination par le SARS-CoV-2. Mais ce qui en a fait l’actualité principale pour le cardiologue est la publication d’une série d’études évaluant contre placebo diverses gliflozines chez des patients ayant ou non un diabète.

Billet du mois
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Ce numéro de Réalités Cardiologiques constitue un rendez-vous annuel destiné à rendre compte des données publiées lors d’une année civile et qui peuvent modifier la pratique cardiologique, une sorte de “le meilleur de 2020”. Cependant, en médecine, cette année 2020 a aussi été marquée par des événements que l’on pourrait qualifier de “le pire de”, et tout cela à cause d’un virus de 100 nanomètres de diamètre et de quelques personnalités particulières.

Billet du mois
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Le 7 octobre 2020, l’Académie royale des sciences de Suède a décerné le prix Nobel de chimie 2020 à deux chercheuses ayant contribué au développement d’une méthode d’édition du génome dénommée CRISPR-Cas9. Il s’agit de la Française Emmanuelle Charpentier, aujourd’hui directrice de l’Institut Max Planck pour la biologie des infections à Berlin, Allemagne, et de l’Américaine Jennifer Doudna, professeure à l’Université de Californie, Berkeley, États-Unis.

Billet du mois
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Au terme du congrès de la Société européenne de cardiologie et après les présentations des résultats des études EMPEROR-Reduced et DAPA-CKD, il ne fait plus de doute que des traitements initialement développés pour diminuer la glycémie chez des diabétiques de type 2, sont des traitements majeurs en thérapeutique y compris chez les non-diabétiques. Ainsi, ces deux études ont démontré que deux gliflozines différentes améliorent respectivement, pour l’une, l’empagliflozine, le pronostic de l’insuffisance cardiaque à fraction d’éjection réduite, et, pour l’autre, la dapagliflozine, celui de l’insuffisance rénale avec protéinurie au point même de diminuer la mortalité totale.

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