Auteur Kownator S.

Cardiologue, Thionville.

Revues générales
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Depuis sa description princeps en 1772, l’angor réfractaire reste une manifestation clinique invalidante pour nombre de patients. Malgré les traitements médicaux et/ou interventionnels, jusqu’à 10 % des sujets présentant un syndrome coronarien chronique continuent à souffrir de douleurs
angineuses. Celles-ci peuvent être liées à des lésions coronaires bien identifiées et insuffisamment revascularisées, à une ischémie myocardique, à une atteinte microvasculaire ou encore à un stress important. Elles résistent à tous les traitements et impactent la qualité de vie. Une approche thérapeutique provoquant un rétrécissement contrôlé du sinus coronaire par implantation d’une prothèse, le réducteur de sinus coronaire, a démontré des résultats prometteurs à court et moyen termes.

Revues générales
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La détermination du degré de sténose est une étape fondamentale en cas de sténose carotidienne. L’écho-Doppler est la technique d’imagerie de première intention. Avant de considérer la maîtrise technique indispensable à une quantification précise, il convient de définir la méthode de référence utilisée pour cette quantification. Les pièges rencontrés ont trait à la technique, mais aussi au type de lésions ainsi qu’au patient et à ses conditions hémodynamiques globales.

Vasculaire
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Une fois posé le diagnostic d’artériopathie des membres inférieurs par la clinique et la mesure de l’IPS, les méthodes d’imagerie non invasives permettent de dresser une cartographie lésionnelle précise.
A ce stade, sauf exception, l’artériographie conventionnelle n’a plus de place.
L’écho-Doppler, l’angioscanner et l’angiographie par résonance magnétique sont les méthodes de choix pour cette exploration. Le choix entre ces différentes méthodes va dépendre en grande partie de leur disponibilité et de l’expérience du centre concerné.
Les différentes recommandations mettent chacune de ces méthodes au même niveau. Elles contribuent très largement au choix de la stratégie thérapeutique.