L’Année cardiologique 2022

L’Année cardiologique 2022
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Ces recommandations très détaillées de l’ESC en cardio-oncologie ont pour but d’aider les professionnels de santé à prendre en charge les patients oncologiques avant, pendant et après leur traitement anticancéreux. Elles détaillent les définitions, le diagnostic, le traitement et la prévention de la toxicité cardiovasculaire liée aux traitements anticancéreux et la prise en charge des complications cardiaques.

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Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de morbidité et de mortalité aux États-Unis. Elles y sont la cause de plus de 25 % des décès. La maladie coronaire y est la première cause de décès, elle compte pour 43 % des décès attribuables aux maladies cardiovasculaires. En 2019, 558 000 décès étaient causés par la maladie coronaire, 100 000 par un accident vasculaire cérébral (AVC) ischémique.

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Le nombre de publications relatives au diabète sucré référencées dans PubMed ne cesse de croître : 27 857 en 2018, 29 357 en 2019, 33 378 en 2020, 35 542 en 2021 et déjà 26 300 entre le 1er janvier et le 1er octobre 2022. C’est donc presque 100 articles indexés relatifs au diabète qui paraissent chaque jour. Dès lors, résumer l’année diabétologique pour les cardiologues ne peut procéder que d’un choix partiel et obligatoirement partial. Et ce, d’autant plus qu’une classe thérapeutique initialement dévolue au diabète voit ses bénéfices cliniques s’étendre au-delà de cette maladie. Avec le seul nom “inhibiteur de SGLT2” il y a plus de 1 400 publications référencées entre le 1er janvier et le 1er octobre 2022 dans PubMed et plus de 800 dans les mêmes délais concernant les agonistes des récepteurs au GLP1 (ar-GLP1).

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L’année 2021-2022 nous a permis de renouer avec les échanges présentiels et la part de communications scientifiques liée au COVID a diminué nettement. Cependant, nous n’avons pas retrouvé le “monde d’avant” et de nouveaux sujets augmentent leur place dans les publications.
Ce “Quoi de neuf” est, comme chaque année, une sélection forcément incomplète et personnelle d’articles qui semblent importants à discuter dans les domaines de la fibrillation atriale, des syncopes et arythmies ventriculaires, de la stimulation et défibrillation, sans oublier l’actualité rythmologique autour de l’intelligence artificielle et des sujets sociétaux. Les commentaires sont de la seule responsabilité de l’auteur.

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Les “thérapies numériques” appelées encore “digital therapeutics” ou DTx arrivent dans l’hypertension artérielle
Les DTx sont des solutions numériques, qui doivent être validées scientifiquement et qui sont utilisées dans le cadre des soins de santé pour se prévaloir de l’appellation. En France à l’heure actuelle, il n’existe pas encore une définition stricte pour les DTx, ni même encore un cadre réglementaire établi par les pouvoirs publics pour une prescription dans l’hypertension artérielle (HTA) mais l’on sait déjà que les DTx devront fournir aux patients des interventions thérapeutiques fondées sur des données evidence-based.

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Avec une nouvelle définition, incluant les peptides natriurétiques, des recommandations américaines venant compléter celles européennes, un traitement enfin efficace dans sa forme à fraction d’éjection préservée et un suivi actualisé grâce à l’apport de la télémédecine, l’insuffisance cardiaque (IC) est plus que jamais un sujet d’actualité.

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Les valvulopathies sont un problème majeur de santé publique et sont considérées comme la nouvelle épidémie cardiaque. Leur prévalence est en constante augmentation, elle devrait doubler en 2040 et tripler en 2060 [1]. En parallèle, les dépenses sanitaires associées aux valvulopathies augmentent de façon progressive, tout comme les hospitalisations.